Pathologies ORL à Mouans-Sartouxproche de Grasse, Antibes et Cannes

Vous souffrez d’un trouble ORL, et vous souhaitez que celui-ci soit correctement diagnostiqué et traité par un professionnel compétent et expérimenté ? Le Docteur Simona GASPAR est chirurgien esthétique à Mouans-Sartoux, et traite les pathologies ORL dans son cabinet dans la région de Cannes-Grasse-Antibes.

Troubles des voies aériennes ou de l’audition (surdité, acouphènes…), maladie de la gorge (enrouement, aphonie…), des oreilles (bouchon de cérumen, otite) et du nez (rhino-pharyngite, sinusite) : le Docteur Simona GASPAR se met à votre entière disposition pour répondre à toutes vos questions, et vous rassurer quant à votre pathologie.

L’obstruction nasale : LES PRINCIPALES CAUSES DE L'OBSTRUCTION NASALE

La cause la plus probable est la déviation de la cloison nasale.

Le diagnostic sera réalisé au box de consultation et l'endoscopie des fosses nasales va rapidement montrer l'asymétrie des deux fosses nasales avec le plus souvent une cloison convexe d'un côté et concave de l'autre, ou bien une cloison trop longue avec un "pied" hypertrophié ou bien avec un éperon postérieur.
Cette déviation de la cloison nasale peut être congénitale ou bien traumatique.

En cas d'obstruction nasale unilatérale, il faudra également éliminer :

  • une polyposenasale unilatérale
  • une tumeurde la fosse nasale
  • une brideou synéchie entre le cornet inférieur et la cloison ou un problème de valve nasale, en particulier s'il existe un traumatisme ou une rhinoseptoplastie dans les antécédents du patient.

Enfin, chez le jeune enfant, il faudra toujours rechercher un corps étranger de la fosse nasale, en particulier s'il s'y associe un écoulement sale voire fétide du côté de la narine bouchée

     

 

traitement pathologie ORL

L'obstruction nasale intermittente :

La cause la plus probable sera l'hypertrophie des cornets inférieurs ou rhinite hypertrophique, qu'elle soit allergique, infectieuse, environnementale ou secondaire à un reflux gastro-œsophagien.

Là encore le diagnostic est clinique, réalisé au box d'examen, idéalement avec un endoscope relié à une caméra.
Le traitement sera d'abord médical, adapté aux différentes causes de cette hypertrophie des cornets inférieurs.

Ce n'est qu'en cas d'échec de ces traitements médicaux bien conduits, que la solution chirurgicale pourra se discuter, de la simple cautérisation des cornets inférieurs à un authentique geste de réduction du volume du cornet, allant de la turbinoplastie à la turbinectomie partielle.

L'obstruction nasale est constante et bilatérale

Il faudra éliminer une polypose nasosinusienne surtout si l'odorat est très amoindri.

Le diagnostic se fera également au box d'examen, à la micro caméra, et sera confirmé par un scanner des sinus de la face qui montrera, en particulier, l'opacité des cellules sinusiennes ethmoïdales.
Le traitement sera d'abord médical, et la chirurgie ne sera réservée qu'aux échecs ou aux contre-indications de ce traitement médical chez des patients porteurs d'une polypose nasosinusienne invalidante.

Les obstructions nasales bilatérales constantes peuvent également être le fait de déviation bilatérale ou complexe de la cloison nasale ou encore d'hypertrophie des 2 cornets inférieurs ( par exemple, chez un patient porteur d'une allergie per annuelle non traitée ).

  • Le trouble d’odorat               
  • Les tumeurs du nez

Ronflement et apnées du sommeil

Le ronflement est lié à des problèmes respiratoires pendant le sommeil, et est à l’origine de conséquences sociales ou familiales importantes ( altération de la vie de couple, vacances collectives ou voyages avec des amis impossibles) lorsque le ronflement est très prononcé.

Le ronflement est du à une difficulté du passage de l’air au niveau du pharynx, au niveau des muscles du palais, de l’arrière-gorge, de l’arrière de la langue, et lorsque la luette est un peu longue. En effet lors du sommeil, ces muscles se relâchent et vont aggraver la réduction du calibre aérien, réduisant alors le passage de l’air, et rendant alors la respiration très bruyante du fait de ces vibrations de l’air à travers des zones trop étroites. Le risque est celui d’entrainer de l’apnée lors du sommeil, c’est à dire des pauses respiratoires altérant  la qualité du sommeil. Ces phénomènes vont être aggravés par un mauvais passage de l’air au niveau nasal, du fait d’une déviation de la cloison nasale, d’une congestion des muqueuses, d’une rhinite allergique, ou de la présence de polypes sinusiens…

Les conséquences de ces pauses respiratoires, lorsqu’elles sont trop fréquentes au cours de la nuit, sont d’avoir un sommeil perturbé, et peu réparateur du fait d’un syndrome d’apnée obstructive du sommeil (SAOS). Ces apnées répétées qui entrainent des désaturations, manque d’apport en oxygène à l’organisme, vont avoir des conséquences graves sur l’ensemble de l’organisme, avec apparition de pathologies cardiovasculaires (Hypertension   artérielle, infarctus du myocarde, pathologies cardio-vasculaires ), ou des répercussions psychiques ( fatigue, dépression, troubles de la mémoire, difficultés de concentration).

Un ronflement nocturne important nécessite de consulter un médecin ORL afin d’examiner les voies aériennes supérieures, et trouver des éléments d’ordre obstructifs qui peuvent faire l’objet d’un traitement médical éventuel. Une analyse du sommeil avec la recherche d’apnée sera proposée par la réalisation d’une polygraphie du sommeil par un appareil portable à la maison, ou dans certains cas dans un centre du sommeil ou il faudra dormir une nuit. Ces diverses techniques d’enregistrement du sommeil seront analysées afin de permettre de déterminer le degré de gravité du SAOS et permettre de proposer un traitement adapté avec d’excellents résultats.

Pathologie buccale : les pathologies au sein de la bouche peuvent trouver leur origine au niveau des dents, de la langue, du palais, des glandes salivaires, ou des amygdales par exemple.

L’origine des pathologies sont d’origine infectieuses, inflammatoire ou tumorales, et peuvent nécessiter un traitement médical ou chirurgical.

Patologie de la thyroide et du cou :La glande thyroïde peut présenter des anomalies de fonctionnement ou des anomalies de structure.

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Les anomalies de fonctionnement de la glande thyroïde

  • Dans l'hyperthyroïdie, tout se passe comme si la glande fonctionnait trop
  • Dans l'hypothyroïdie, tout se passe comme si la glande ne fonctionnait pas assez.

Ces anomalies sont révélées par le dosage sanguin des hormones thyroïdiennes T3 et T4 et de l'hormone de stimulation hypophysaire TSH.
Le traitement est le plus souvent médical, assuré par le médecin traitant ou l'endocrinologue. Dans certains cas cependant, en particulier dans la maladie de Basedow, qui est une forme particulière d'hyperthyroïdie, la chirurgie thyroïdienne pourra être indiquée en cas d'échec des traitements médicaux.

Les anomalies de structure

Des nodules ou des kystes, de taille variable, apparaissent au seing de la glande.
Ces nodules sont le plus souvent bénins, mais certains peuvent dégénérer.

Le challenge du chirurgien est alors de n'opérer que les patients porteurs de lésion suspecte de transformation maligne.

L'examen et l'interrogatoire prendront en compte :

  • la rapidité d'évolution du nodule
  • l'aspect du nodule (dur à la palpation, régulier ou pas)
  • l'apparition de ganglions du cou
  • le résultat de l'échographie thyroïdienne et cervicale (hypervascularisation, micro calcifications, hétérogénicité de son contenu).
  • l'évolution dans le temps (modification de la taille du nodule)

Les recommandations actuelles préconisent de simplement surveiller les nodules inférieurs à 10 mm de diamètre. Au-delà, on réalise une cytoponction sous repérage échographique qui permettra de renforcer le caractère bénin ou malin du nodule.

Tous ces éléments, cliniques, échographiques et cytologiques, permettent d'établir un faisceau d'arguments , mais la certitude histologique, aujourd'hui encore, ne pourra être établie qu'avec la pièce opératoire d'exérèse.
Aussi, au moindre doute, une chirurgie sera décidée pour éviter de laisser évoluer une lésion suspecte ou maligne.

Patologie du visage : Chirurgie des tumeurs cutanées des différentes zones du visage

Très fréquents au niveau du visage, en particulier au niveau des oreilles, des joues et du nez, zones les plus souvent soumises à une exposition solaire importante, les cancers cutanés peuvent revêtir trois formes histologiques principales de malignité croissante.

Les cancers baso cellulaires du visage

Ce sont les plus fréquents mais aussi les moins dangereux. En effet, ils ne donneront jamais de métastases à distance ni même de ganglions locaux ou régionaux. Par contre leur évolution, uniquement locale, peut être plus ou moins agressive, en surface et /ou en profondeur.

Quelle que soit la localisation initiale de la lésion (nez, paupière, zone proche de la voie lacrymale, extension profonde nécessitant une dissection du nerf facial) la chirurgie imposera une connaissance parfaite de l'anatomie de la face et des techniques de reconstruction.


L'opération pourra se faire sous anesthésie locale ou générale, selon l'emplacement et l'étendue de la lésion.


L'analyse histologique extemporanée réalisée par un anatomopathologiste expérimenté est systématique et permet d'être sûr que la chirurgie a été d'emblée curative, en passant "en tissus sains".


La chirurgie étant le traitement curateur, aucun traitement complémentaire n'est nécessaire.

Les cancers spino cellulaires du visage

Ils sont moins fréquents mais leur dangerosité est plus grande.
En effet, ces lésions peuvent être responsables de métastases à distance, ce qui rend leur prise en charge beaucoup plus urgente et pluri disciplinaire.
La chirurgie aura les mêmes impératifs que dans le cadre des lésions basocellulaires mais elle pourra être souvent associée à des traitements complémentaires, notamment la radiothérapie ou la chirurgie d'évidement des ganglions du cou.

Les mélanomes du visage

Ils sont encore moins fréquents.
Leur prise en charge sera obligatoirement pluridisciplinaire, entre dermatologue, oncologue et chirurgien.
Le traitement et le pronostic dépendent essentiellement de l'étendue, en particulier en profondeur, de la lésion d'origine.

Pathologie de l’oreille et de la surdité : 

  • La surdité
  • Les acouphènes
  • Le vertige

Pathologie des cordes vocales et larynx

La dysphonie est un symptôme très fréquent de consultation tant chez l’omnipraticien que chez l’ORL.
Le plus souvent en rapport avec une origine dysfonctionnelle, elle devra néanmoins en cas de persistance au delà d’un mois toujours faire éliminer une pathologie néoplasique sous jacente dont le pronostic fonctionnel et vital dépend de la rapidité diagnostique.

La dysphonie est une altération momentanée ou durable de la fonction vocale ressentie par le sujet ou par son entourage. Ce trouble porte sur une ou plusieurs caractéristiques acoustiques de la voix (hauteur, timbre et intensité)
C’est le signe clinique le plus précoce dans les cancers du larynx. Cependant, malgré son caractère alarmant, la dysphonie est souvent l ‘expression d’une pathologie tout à fait bénigne.

Les facteurs favorisant la dysphonie (facteurs chroniques) :

  • malmenage vocal « vocal miss use » (mauvaise technique vocale)
  • surmenage vocal « vocal abuse » (obligation socioprofessionnelle de parler)
  • conditions acoustiques difficiles (travaux sur chantiers dans le bruit, enseignants dans amphithéâtres…)
  • exposition à la poussière et aux polluants
  • intoxication tabagique
  • affections chroniques de la sphère O.R.L
  • Reflux gastro-oesophagien (RGO)
  • Boucle audio-phonatoire défectueuse (hypoacousie gênant le sujet dans l’appréciation des paramètres de sa voix, l’intensité est souvent augmentée provoquant ainsi un forçage vocal)
  • Mode de communication familiale ( cris…) 

Consultez également :